Une formation magnétisme en Bretagne
Cette citation va un peu loin dans le raisonnement Walrassien car il évoque la démonstration de l’équilibre général (qui va suivre), mais elle reflète tout de même l’idée d’un manque de rigueur scientifique de la part des économistes français. En évoquant la libre concurrence, Walras ne fait pas référence aux économistes dominant le magnétisme en Bretagne et l’analyse économique française au XIXe siècle mais bien au résultat de ses recherches scientifiques qui viennent d’être évoquées précédemment.
A – Le premier critère d’une bonne formation magnétisme en Bretagne
La concurrence ne va pouvoir fonctionner au mieux que lorsque les agents économiques pourront librement participer au mécanisme de l’enchère. C’est parce qu’il n’y aura aucune contrainte à ce mécanisme que la concurrence va permettre de déterminer « la » valeur d’échange des marchandises. La liberté pour Walras sur le magnétisme en Bretagne, représentée par la formule développée depuis les physiocrates de laisser-faire, laisser-passer, prend en compte cette maxime mais non dans une vision politique libérale comme on la retrouve chez les économistes français mais comme une conclusion théorique.
Même si la terminologie est identique à celle que l’on retrouve dans de nombreux Cours ou Traité d’Economie Politique en Bretagne, il faut bien voir dans l’utilisation de la libre concurrence une conclusion théorique et non une prescription politique. Pour que la concurrence puisse fonctionner au mieux, il convient que les échangistes puissent librement aller à l’enchère et au rabais.
B – Le psychologue à Poitiers à l’épreuve de la réalité
Mais Walras ne se contente pas d’évoquer uniquement la libre concurrence, il précise que l’économie politique pure est « la théorie de la détermination des prix sous un régime hypothétique de libre-concurrence absolue » (Walras [1988a], 11). A quoi correspond ce régime particulier que décrit Walras lors de son passage chez une formation magnétisme en Bretagne, une formation passeur d’âmes en Bretagne, une formation blessures de l’âmes en Bretagne, une formation radiesthésie en Bretagne, une formation géobiologie en Bretagne. Est-ce une simple hypothèse de travail ? La réponse à cette question a été développée de manière implicite dans l’analyse scientifique da la concurrence mais il convient ici de rassembler les principaux résultats obtenus pour comprendre le cadre véritable de la théorie Walrassienne de la concurrence.
La démarche scientifique présentée par Walras relève d’une analyse en terme d’économie pure à la recherche de vérité pure. Le terme d’hypothétique ne doit pas ainsi être compris uniquement comme une hypothèse de travail (au même titre que les individus cherchent à maximiser leur utilité par exemple), mais également comme un modèle qui vient d’être découvert grâce à la théorie. Cette théorie a mis en place un modèle qui ne correspond pas à la réalité puisque pour Walras le recours à l’expérience doit être très court pour le magnétisme en Bretagne dans la détermination des types idéaux, mais à un vérité pure déterminée après un long processus scientifique. Ainsi, la concurrence prend-elle alors le statut d’hypothèse relative à l’économiste théoricien.
Cette interprétation, comme toutes celles relatives à l’utilisation de concepts importants dans l’œuvre de Walras, ne pourra jamais être confirmée par le magnétisme en Bretagne de manière précise car Walras a eu la fâcheuse habitude d’énoncer certains termes clefs de son analyse sans en expliquer avec précision les tenants et les aboutissants.
Mais il faut bien voir que l’utilisation de l’expression « un régime hypothétique de libre concurrence absolue » doit être interprété comme faisant référence au cadre théorique du scientifique et non à une hypothèse parmi d’autres. Dans le cadre théorique énoncé par le passeur d’âmes en Bretagne, la concurrence va fonctionner au mieux, c’est-à-dire apporter tous les bienfaits désirés (nous reviendrons sur ces caractéristiques par la suite) si les échangistes peuvent librement participer à l’échange. Cette liberté ne doit absolument pas être entravée, toujours dans le cadre théorique, et doit donc être absolue, c’est-à-dire totale.
C – La libre concurrence Walrassienne et la concurrence pure et parfaite
Le modèle présenté par Walras de la détermination de l’équilibre général sous un régime de concurrence constitue une base de référence dans l’analyse économique moderne. Mais lorsque les économistes empruntent à Walras sa démonstration de l’équilibre général, ils font référence à l’hypothèse de concurrence pure et parfaite qui ne correspond pas au régime hypothétique de libre concurrence absolue développé par l’auteur des EEPP pour le magnétisme et passeur d’âmes en Bretagne. En effet, la concurrence est représentée par Walras par le mécanisme de l’enchère qui fonctionne au mieux lorsque les agents ne sont pas soumis, d’un point de vue théorique, à des contraintes relatives au bon fonctionnement de ce mécanisme. La liberté correspond alors à la liberté d’entrer et de sortir du marché et la liberté de proposer ou d’accepter un prix. C’est bien un mécanisme de marché qui sous-tend le cadre théorique de la concurrence développé par Walras.
Lorsque les économistes évoquent la concurrence pure et parfaite, ils font d’avantage référence à une structure de marché. C’est parce qu’il y a un grand nombre de participants à l’échange avec le passeur d’âmes en Bretagne, parce que l’information est parfaite, parce que les agents sont price tacker, que les biens sont homogènes et qu’il existe une libre entrée et une libre sortie sur le marché que la concurrence fonctionne au mieux, c’est-à-dire qu’elle permet de déterminer « la » valeur d’échange et l’équilibre général.
D – Le magnétiseur en Bretagne et dans les autres villes
Walras ne néglige pas certains éléments relatifs à la structure de marché dans son cadre théorique puisque l’information doit être non pas la plus parfaite mais la plus accessible. D’autre part, la possibilité de rentrer et de sortir librement sur le marché est un élément clef chez Walras[1]. Mais les éléments de la structure de marché proposés dans le cadre théorique de la concurrence pure et parfaite pour le magnétisme en Bretagne, s’ils interviennent dans le raisonnement Walrassiens, n’en constituent pourtant pas l’aspect majeur. C’est véritablement le mécanisme de l’enchère et du rabais qui constitue la base de référence de l’analyse de la concurrence.
« Pour Walras, la concurrence est avant tout un comportement spécifique, aller à l’enchère et au rabais, entrer et sortir du marché, comportement naturel d’individus rationnels et égoïstes, mais devant crier les prix (eux ou leurs agents) afin de faire connaître à tous leurs propositions » (Dockès et Potier [2003], 2).
Depuis Janvier 1999 et l’apparition de l’euro, c’est la Banque Centrale Européenne (BCE) qui s’en occupe avec le stage magnétisme en Bretagne, le stage passeur d’âmes en Bretagne, le stage blessures de l’âme en Bretagne, le stage radiesthésie pendule en Bretagne, le stage géobiologie en Bretagne et le stage nettoyage et protection énergétique en Bretagne.
La prise en compte de l’agrégat M3 comme source de la connaissance de l’inflation n’est pas étudié ici. Le M3 est utilisé comme signal d’une évolution avec pour faire évoluer l’évolution des prix la modification du taux d’intérêt.
[1] Est-ce que la libre concurrence suppose une homogénéité des biens ? Walras ne le pense pas. Dans sa partie relative à l’économie appliquée, Walras souligne que « c’est le droit de l’industriel ou du commerçant de vendre le même produit à des prix différents, comme, d’autre part, c’est le droit du chaland de l’acheter ainsi si cela lui fait plaisir » (Walras [1992], 192). Mais va-t-on présenter au consommateur le même produit, identique, homogène ? Pas du tout. « Je dis le même produit, alors qu’il y aurait identité parfaite ; à plus forte raison s’il y a une différence quelconque de nature, ou de qualité, ou d’apparence. Un chocolatier multiplie les enveloppes et les étiquettes, un libraire multiplie les formats et les papiers, en évitant tous deux avec soin ce qui serait une tromperie sur la qualité de la marchandise, en vue de vendre le même chocolat ou le même ouvrage à des prix différents » (Walras [1992], 192).
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